Hongkong le matin
le 1er Novembre 2007 :
Après une courte nuit, nous partons à l'aventure pour d'un visa. Après un passage dans les bureaux d'une grande tour et nous voici en mode touriste. Le problème est qu'il pleut ... Nous décidons quand même de partir voir le plus grand Bouddha assis du monde sur l'ile voisine (qui est aussi celle de l'aéroport).
Déception à la sortie du métro, le téléphérique ne fonctionne pas ... faut se taper le bus. Et vu comment conduisait le chauffeur dans ces petites routes de montagne, nous aurions bien échangé le trajet en bus contre un peu de vertige du téléphérique. 
Nous arrivons en haut de la montagne et donc en bas des escaliers qui montent vers le dieu illuminé.
Pour faire simple : à Hongkong il pleuvait dans un doux automne, au somment de cet ile l'hiver sous la pluie était sur nous. J'avais juste une chemise ! Mes tétons saillaient et Virginie avait bien fait de prévoir une laine de plus.
Nous arrivons à Hongkong dans la soirée. Le train qui nous amène en ville est vraiment sympa neuf et confortable. Nous découvrons la ville. Merveilleuse de lumière, nous sommes subjugués par ce que nous voyons c'est magnifique de voir ces alvéoles briller telle une armée de torches. Il y a d'autres français dans notre wagon, il ne fait aucun doute qu'ils doivent être ici pour le travail mais néanmoins ils sont plus proches du Picon-Bière que de la Vodka-Martini.
A la sortie du train il y a une longue queue pour prendre un taxi : comme une antique usine et son tapis roulant les taxis sortent de nulle part à toute vitesse pour stopper devant les portes de verre et amener leurs touristes dans la ville.
Je montre où nous voulons aller à notre taxi et c'est parti pour la ville. C'est très différent de Taipei, plus mouvant, plus technologique, plus vivant, plus européen. Nous arrivons à destination ... enfin ce que le taxi croyait être notre destination, nous repartons vers ce que nous espèrons être notre hotel. Finalement arrivés, nous découvrons notre hotel avec inquiètude puis bonne surprise.
A la sortie du train il y a une longue queue pour prendre un taxi : comme une antique usine et son tapis roulant les taxis sortent de nulle part à toute vitesse pour stopper devant les portes de verre et amener leurs touristes dans la ville.
Je montre où nous voulons aller à notre taxi et c'est parti pour la ville. C'est très différent de Taipei, plus mouvant, plus technologique, plus vivant, plus européen. Nous arrivons à destination ... enfin ce que le taxi croyait être notre destination, nous repartons vers ce que nous espèrons être notre hotel. Finalement arrivés, nous découvrons notre hotel avec inquiètude puis bonne surprise.
Après une courte nuit, nous partons à l'aventure pour d'un visa. Après un passage dans les bureaux d'une grande tour et nous voici en mode touriste. Le problème est qu'il pleut ... Nous décidons quand même de partir voir le plus grand Bouddha assis du monde sur l'ile voisine (qui est aussi celle de l'aéroport).Déception à la sortie du métro, le téléphérique ne fonctionne pas ... faut se taper le bus. Et vu comment conduisait le chauffeur dans ces petites routes de montagne, nous aurions bien échangé le trajet en bus contre un peu de vertige du téléphérique.
Nous arrivons en haut de la montagne et donc en bas des escaliers qui montent vers le dieu illuminé.Pour faire simple : à Hongkong il pleuvait dans un doux automne, au somment de cet ile l'hiver sous la pluie était sur nous. J'avais juste une chemise ! Mes tétons saillaient et Virginie avait bien fait de prévoir une laine de plus.
Au niveau du Bouddha, il faisait encore plus de vent. Nos avions du mal à garder nos parapluies de facon à protéger l'appareil photo quant à nos petites mirettes, elles étaient totalement trempées.
Fortement refroidis, nous reprenons le bus vers la ville, dépités et décus.
Les photos en grand dans les albums .... :D
Fortement refroidis, nous reprenons le bus vers la ville, dépités et décus.
Les photos en grand dans les albums .... :D